mardi 2 septembre 2008

Nos Hébergements (1)

A toutes fins utiles, voici quelques commentaires sur nos hébergements :
- J01, Larrasoaña : Pension El Peregrino, calle San Nicolas 50, Larrasoaña, 948 304 554 et 948 227 825. C'est la maison située derrière le panneau (voir les photos ici). Très correct; 45€ la chambre triple; nous avions réservé par téléphone, impossible ensuite d'obtenir un contact pour avoir le code IBAN nécessaire pour le virement d'arrhes demandé. Les chambres ont failli être attribuées à d'autres... Donc arriver tôt.




- J02, Lerate, camping Aritzaleku
Ah la deuxième étape ! En 1996 c'était Estella, et son camping bondé et bruyant. Dans un souci de replica nous souhaitions quand même y retourner, impossible, c'est la fête à Estella début août, et sans être la San Fermin cela draine du monde. Nous nous rabattons donc sur le camping Aritzaleku à Lerate (que Myriam prononce de façon prémonitoire "Le Raté") en amont d'Estella et en dehors du Camino : camping bondé, le gérant nous colle dans un emplacement minuscule puis nous coince avec la tente d'une nouvel arrivant, ce qui nous provoquera quelques stress pour sortir le camping-car le lendemain, et cerise sur le gâteau, il faut payer en liquide les repas pris à la cafèt' car la transaction CB n'a pas marché, sauf que de retour en France on se rend compte qu'elle a très bien marché, donc notre appréciation unanime c'est : A EVITER.
"La prochaine fois" (y en aura-t-il une ??) nous reverrons le découpage des étapes et éviterons Estella et ses campings maudits.

- J03, Navarette : Hôtel Villa de Navarette. Quiproquo, toujours dans notre souci de replica nous voulions retourner à l'"hôtel des toreros" (Pension Restaurante La Carioca, calle Prudencio Muñoz) mais par je ne sais quel mystère (erreur de n° de téléphone ?) la réservation est en fait prise à l'"Hostal Villa de Navarette". Ce n'est pas plus mal et c'est même certainement mieux. Notre appréciation : très bien. Ne fait pas demi pension, nous conseillons vivement le Bar Deportivos sur la place juste en face de l'hôtel, accueil sympathique, cuisine correcte, portions généreuses, prix (presque) dérisoires.









- J04, Belorado. Là aussi nous ne pouvons pas retourner à notre hébergement de '96, le fameux "hôtel des supions de Bonnaf'" qui est complet, nous choisissons donc un peu au hasard les chambres d'hôtes "Verdeancho". Bingo ! Alfredo et Elsa ont restauré avec goût leur maison, et nous accueillent de manière très agréable. Verdict : chaudement recommandé (ne font pas demi pension).

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